L’apprentissage des arts martiaux est bénéfique pour l’Homme, tant sur le plan physique que spirituel. Cependant, il se pourrait qu’un jour, en cas de force majeure, vous soyez obligés de recourir aux techniques de combat pour vous protéger de certaines personnes malfaisantes.
Voici donc une liste des disciplines martiales les plus dangereuses et les plus efficaces du moment :
Le Kyokushinkai
Le Kyokushinkai est un style de karaté fondé dans les années 1950 par Masutatsu Oyama. Pour la petite histoire, maître Oyama, ancien pratiquant de Goju Ryu et de Shotokan, se lassa très vite des mouvements lents et codifiés proposés par ces deux écoles traditionnelles. Après quelques mois de retraite dans la montagne, et suite à de longues années de perfectionnement, il présenta le Kyokushinkai (en japonais, l’école de l’ultime vérité) au public. Contre toute attente, les gens furent immédiatement emballés par son efficacité. Il faut aussi reconnaître que Oyama ne manqua pas d’imagination pour attiser la curiosité : combat à nues face à un taureau (il sectionna la corne de l’animal avec le tranchant de la main), séances de casses ou tameshiwari, etc.
Les compétitions de kyokushinkai se distinguent par leur rudesse, étant donné que les combats se font à mains nues, et se déroulent au KO.
L’apprentissage des arts martiaux, tels que le Kyokushinkai, est bénéfique pour l’Homme à la fois sur le plan physique et spirituel. Cependant, il est important de souligner que l’engagement dans des pratiques de combat doit être guidé par la responsabilité et la sécurité. En dehors de la pratique des arts martiaux, certains peuvent également rechercher d’autres formes d’excitation et d’expérience, comme celles offertes par des divertissements tels avis Millionz Casino. Chaque individu doit évaluer attentivement ses choix et prendre en compte ses propres préférences et limites pour trouver un équilibre entre les activités physiques et de loisirs qui lui conviennent le mieux.
Le Krav-maga
Le Krav-maga est classé comme un art martial dans la mesure où il inculque des valeurs et des philosophies basées sur le respect, la maîtrise de soi, la tolérance, l’entraide ou l’humilité. Cependant, ses pratiquants le considèrent comme une méthode de self-défense à part entière.
Les origines du Krav-maga remontent à la Seconde Guerre mondiale, en Tchécoslovaquie, où son fondateur, Imi Lichtenfield, officiait comme instructeur de la police. Pour lutter contre le régime fasciste qui tenait le pays d’une main de fer, Lichtenfield mit à profit ses compétences dans la lutte, la boxe, ou le kapap (un art martial traditionnel israélien). Après la guerre, il rejoint le Tsahal comme instructeur d’éducation physique, une opportunité qui lui a permis de créer sa propre méthode de combat.
Ainsi, le Krav-Maga se définit comme étant un mélange de karaté, de boxe, d’Aïkido, de kick-boxing, ou de judo. Son principal objectif étant de neutraliser l’adversaire par tous les moyens : coups de pieds/poings, projections, clés de bras, strangulation, etc. Le Corps des Marines des États-Unis, le GIGN (l’élite de la Gendarmerie nationale française), et la plupart des militaires chargés de la sécurité des présidents de plusieurs pays européens, a été formé par des instructeurs de Krav-Maga.
Le Muay-thaï
C’est une pratique martiale ancestrale thaïlandaise réputée par la puissance et la violence de ses coups. Ses origines remontent au XVIIIe siècle, mais sa forme actuelle est le résultat d’un mélange avec plusieurs styles de boxes traditionnelles provenant de Birmanie, du Laos ou du Viêt-Nam. Pour les amateurs d’arts martiaux et de sports de combat, le style proposé par le Muay-Thai est novateur dans la mesure où il privilégie toutes sortes de techniques de pieds et de poings (coups de coudes, de genoux, etc.) aussi efficaces que dévastateurs.
Faisant partie intégrante de la culture thaïlandaise, le Muay-thaï est également considéré comme un sport national. À cet effet, diverses compétitions nationales ou internationales sont organisées chaque année à Bangkok ou dans les autres grandes villes de l’ancien royaume du Siam. Il existe même deux grands stades dédiés au Muay-thaï dans la capitale : le Lumpinee et le Rajadamnoen.
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Le Iaïdo
Le Iaïdo est un art martial nippon qui se base sur l’utilisation du katana (le sabre japonais). Son principe consiste à dégainer le sabre afin de terrasser l’adversaire d’un coup rapide, précis et sec.
Cette discipline est étroitement liée à la légende des samouraïs, ces guerriers japonais réputés pour leur héroïsme et leur maîtrise des arts martiaux. Considéré comme un art noble au pays du Soleil Levant, le Iaïdo est considéré comme dangereux, dans la mesure où la lame du katana est tranchante comme du rasoir. Pour éviter les éventuelles blessures, les adeptes du Iaïdo utilisent un bokken (sabre en bois), ou un Iaïto (katana non affûté).
Malgré le danger qu’ils représentent, les katanas sont facilement trouvables dans le commerce. Certains modèles rares sont même proposés pour des milliers d’euros par certains antiquaires.
Le Ninjutsu
Vous avez certainement pu voir quelques aperçus de cet art au cinéma ou à la télévision par le biais des films de ninjas. Ceux qui sont à l’origine de cette discipline sont les shinobis (ou ninjas dans la culture cinématographique occidentale). Ces derniers étaient des espions bien formés aux techniques de combat, de ruse et de tromperie, et qui étaient autorisés à tuer si nécessaire. Ils excellaient si bien dans leur art qu’ils étaient parfois impliqués, à tort ou à raison, dans de nombreux assassinats politiques durant le Japon féodal.
Pour mener à bien ses missions, le shinobi doit maîtriser plusieurs techniques de combat : le kajutsu (utilisation d’explosifs et d’armes à feu), l’onshinjutsu (art du déguisement), le shinobi kenjutsu (maîtrise du sabre shinobi plus connu sous le nom de ninjato), shotenjutsu (escalade), etc. À notre époque, le ninja pourrait être assimilé aux forces spéciales réputées pour leur endurance physique et mentale, et à leur savoir-faire sur la manipulation des armes.
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